Pratique : aspirateurs sans fil
La mode est aux aspirateurs rechargeables : leur puissance et leur maniabilité sont leurs principales qualités. Mais les prix restent élevés, et ce sont des instruments pour petites surfaces.
L’aspirateur sans fil est léger, facile à manipuler, assez simple à remiser après usage. Encore faut-il un rangement près d’une prise électrique, parce que le temps de recharge est de plusieurs heures, pour une autonomie de quelques minutes.
C’est un instrument maniable, mais pas si léger : le moteur alourdit son manche, et rend difficile l’aspiration en verticale et en hauteur.
Il est plutôt adapté aux petits logements, ou au nettoyage ponctuel : miettes sous la table ou l’escalier, voiture dans la rue. D’ailleurs, il ne tient qu’une dizaine de minutes à pleine puissance, entre deux recharges. L’autonomie annoncée par les fabricants est trompeuse, car elle a été calculée à faible régime.
La puissance est également limitée, même s’il y a eu des progrès. Les appareils les plus efficaces ne rivalisent pas avec les modèles traîneaux les plus performants.
Il existe deux types d’aspirateurs sans fil : l’aspirateur balai monobloc (plus lourd et moins maniable) et le modèle mixte (un aspirateur à main qui peut se transformer en balai, avec adjonction d’un tube entre le moteur et la brosse).
La marque DYSON est championne en ce domaine, avec un modèle cher (ABSOLUTE PRO, 700 €) et un autre plus abordable et pourtant comparable en efficacité (MOTORHEAD, 300 €). Mais un modèle ROWENTA fait jeu égal avec le meilleur, pour un prix raisonnable (AIR FORCE FLEX, 500 €).