Énergie moins chère ensemble 2023 : 114 217 euros de pouvoir d’achat économisé en Mayenne
Notre achat groupé « électricité » qui s’est clôturé le 15 novembre 2023, a été un succès. Presque 130 000 consommateurs français dont 731 mayennais ont souscrit à l’offre lauréate (particulièrement attractive comme l’a souligné le Médiateur national de l’énergie). Ces mayennais vont ainsi pouvoir économiser en moyenne 156 euros sur un an par rapport au tarif réglementé.
L’offre comprend en outre une sécurité juridique (un contrat sûr, l’accompagnement de la Fédération UFC-Que Choisir en cas d’éventuelles réclamations). Alors que l’offre est à prix fixes deux ans, et que le tarif réglementé doit de nouveau augmenter en février prochain, les économies pourraient être encore plus significatives…
Pour être informé du lancement de nos opérations « Énergie moins chère ensemble » et nos autres achats groupés : inscrivez-vous à notre lettre d’information dédiée : https://www.quechoisir.org/utils/newsletter
En vous inscrivant gratuitement à cette lettre, vous serez sûr d’être informés en avant-première de nos opérations d’achat groupés.
Nous avons été les pionniers en France dans le domaine des achats groupés « énergie » pour permettre aux ménages de faire baisser leurs factures, avec une économie annuelle moyenne par souscripteur de 156 euros par campagne.
Problème d’accès aux soins : l’UFC-Que Choisir attaque le gouvernement pour inaction !
L’UFC-Que Choisir de la Mayenne rend public les chiffres affolants de la désertification médicale qui frappe notre département, révélée par l’actualisation de la carte de la fracture sanitaire.
Notre fédération attaque aujourd’hui le gouvernement devant le Conseil d’État et dépose un recours pour inaction.
L’UFC-Que Choisir de la Mayenne soutient cette démarche et invite les Mayennais également à la soutenir en signant et en partageant massivement la pétition « Accès soins – J’accuse l’État » dans le cadre de la campagne #MaSanteNattendPlus.
Notre association constate :
- Un accès territorial aux soins dégradé dans notre département, surtout pour les gynécologues et les pédiatres.
Notre analyse montre en effet que 87,8 % des femmes et 72,2 % des enfants qui y habitent sont respectivement dans un désert médical gynécologique et pédiatrique.
La situation tendue pour accéder à un généraliste, puisque 55,4% des usagers du département ont d’importantes difficultés[1] pour accéder à ce pilier du parcours de soins[2].
- Avec la dimension économique, les déserts médicaux s’étendent dramatiquement pour les spécialistes
En combinant la dimension géographique et financière de l’accès aux soins, c’est-à-dire en ne prenant en compte que l’accès à des médecins ne pratiquant pas de dépassements d’honoraires, la situation se détériore très fortement.
- Obtenir un rendez-vous médical est souvent impossible, ou avec des délais trop longs.
- Avec la campagne #MaSanteNattendPlus, notre association mobilise les consommateurs de la Mayenne
L’UFC-Que choisir demande en particulier :
- L’instauration d’un conventionnement territorial des médecins afin de garantir une meilleure répartition des professionnels de santé sur le territoire.
- La fermeture de l’accès au secteur 2 (honoraires libres) à l’origine du développement incontrôlable des dépassement d’honoraires.
Notre association locale soutient le travail des parlementaires Mayennais dans leurs combats contre la fracture sanitaire et de plus avec la campagne #MaSanteNattendPlus, notre association invite les Mayennais à soutenir le recours devant le conseil d’État en signant et partageant massivement la pétition nationale « Accès soins – J’accuse l’État ».
Nous invitons également les Mayennais à consulter la carte interactive gratuite sur l’état de l’accès aux soins dans leurs communes.
Contact presse : Jean-Michel GUINAUDEAU 06 08 70 54 56
[1] Un accès difficile est caractérisé ici par une accessibilité médicale au moins 30 % inférieure à la moyenne nationale.
[2] Précisons que depuis 2021, dans la Mayenne l’accès territorial à un généraliste, à un pédiatre, et à un gynécologue et à un ophtalmologue s’est dégradé pour respectivement 37,4%, 28,4% et 3,8% de la population française.